Pour vrai...
Religions :
L’Inde est un pays où le poids des traditions marque tous les aspects de la vie quotidienne et y joue un rôle de première importance. Beaucoup d’entre elles ne sont que de simples coutumes ou des superstitions se transmettant au fil des siècles. Néanmoins, elles constituent le fonctionnement véritable, l’essence même de sa civilisation.
L’hindouisme : C’est la religion prédominante (la plus importante) de l’Inde, avec presque 700 millions de pratiquants et aussi l’une des plus anciennes. Elle n’a ni fondateur, ni clergé officiel. (Exemple : catholicisme avec le pape et le Vatican). Elle repose sur deux principes fondamentaux. La première idée-clé de la religion hindouiste est que l’univers se fonde sur un ordre, la Vérité, qui le maintient en existence. Toute transgression de l’ordre se répercute sur l’ensemble du cosmos. Si la mousson arrive en retard ou si les pluies provoquent des inondations catastrophiques la croyance populaire attribue volontiers ces désordres à une faute, et particulièrement à la faute principale du XXe siècle : avoir rompu les équilibres traditionnels et donc perturbé l’ordre cosmique (le dharma)
Dharma : tout ce qui se rapporte au devoir.
La seconde idée est que l’homme est fait d’un corps périssable et transitoire, et d’une âme éternelle qui se réincarne indéfiniment d’un corps à l’autre en commises dans ses différentes vies : le karma.
L’Inde est un pays où le poids des traditions marque tous les aspects de la vie quotidienne et y joue un rôle de première importance. Beaucoup d’entre elles ne sont que de simples coutumes ou des superstitions se transmettant au fil des siècles. Néanmoins, elles constituent le fonctionnement véritable, l’essence même de sa civilisation.
L’hindouisme : C’est la religion prédominante (la plus importante) de l’Inde, avec presque 700 millions de pratiquants et aussi l’une des plus anciennes. Elle n’a ni fondateur, ni clergé officiel. (Exemple : catholicisme avec le pape et le Vatican). Elle repose sur deux principes fondamentaux. La première idée-clé de la religion hindouiste est que l’univers se fonde sur un ordre, la Vérité, qui le maintient en existence. Toute transgression de l’ordre se répercute sur l’ensemble du cosmos. Si la mousson arrive en retard ou si les pluies provoquent des inondations catastrophiques la croyance populaire attribue volontiers ces désordres à une faute, et particulièrement à la faute principale du XXe siècle : avoir rompu les équilibres traditionnels et donc perturbé l’ordre cosmique (le dharma)
Dharma : tout ce qui se rapporte au devoir.
La seconde idée est que l’homme est fait d’un corps périssable et transitoire, et d’une âme éternelle qui se réincarne indéfiniment d’un corps à l’autre en commises dans ses différentes vies : le karma.
Karma : est un terme utilisé dans plusieurs religions orientales, il désigne le cycle des causes et des conséquences lié à l'existence des êtres sensibles. Le karma est la somme de ce qu'un individu a fait, est en train de faire ou fera. Dans les religions incorporant les concepts de réincarnation ou de renaissance, les effets de ces actes karmiques se répercutent sur les différentes vies d'un individu.
Comme la vie n’apporte, c’est bien connu, que souffrances et accablement, le but de tout bon hindou est d’en finir au plus vite avec ce cycle de réincarnations, pour atteindre enfin la moksha.
Moksha : se rapporte à la libération finale de l'âme individuelle ou jîva du cycle des renaissances, le samsâra. La moksha est en quelque sorte l'équivalent hindou du nirvana bouddhique.
On ne se réincarne pas au hasard : on renaît dans une caste qui correspond très exactement à son casier religieux.
À chaque réincarnation, donc, chacun peut, grâce à sa conduite, se rapprocher de l’état de pureté, condition nécessaire à la délivrance finale. Les premiers voyageurs européens s’étonnaient de ce peuple « qui ne trouve rien de plus désirable que l’anéantissement ».
Les principales croyances de l’hindouisme sont illustrées dans le Mahābhārata et le Rāmāyana. Ces deux épopées mettent en évidence le système des castes, en fonction desquelles s’établit le karma, somme des actions passées qui conditionne la réincarnation de l’âme (samsara).
Comme la vie n’apporte, c’est bien connu, que souffrances et accablement, le but de tout bon hindou est d’en finir au plus vite avec ce cycle de réincarnations, pour atteindre enfin la moksha.
Moksha : se rapporte à la libération finale de l'âme individuelle ou jîva du cycle des renaissances, le samsâra. La moksha est en quelque sorte l'équivalent hindou du nirvana bouddhique.
On ne se réincarne pas au hasard : on renaît dans une caste qui correspond très exactement à son casier religieux.
À chaque réincarnation, donc, chacun peut, grâce à sa conduite, se rapprocher de l’état de pureté, condition nécessaire à la délivrance finale. Les premiers voyageurs européens s’étonnaient de ce peuple « qui ne trouve rien de plus désirable que l’anéantissement ».
Les principales croyances de l’hindouisme sont illustrées dans le Mahābhārata et le Rāmāyana. Ces deux épopées mettent en évidence le système des castes, en fonction desquelles s’établit le karma, somme des actions passées qui conditionne la réincarnation de l’âme (samsara).
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